Pourquoi un Photographe bar mitzvah?
Les principaux événements dans la vie d’une famille méritent d’être immortalisés pour la postérité. C’est d’autant plus évident lorsqu’ils touchent le monde spirituel, comme un baptême, une première communion, un mariage ou des Bar et Bat Mitzvah.
Un photographe ou une animation photo pour couvrir la Bar et Bat Mitzvah
L’agence L’image en marche dispose de photographes, de matériels et du savoir-faire nécessaire pour faire des Bar et Bat Mitzvah une fête pleine de souvenirs et d’émotions. Il faut noter qu’en dehors des cérémonies à la synagogue, les familles organisent souvent une fête où les invités offrent des présents au jeune garçon ou à la jeune fille. La couverture photo de cette journée mémorable peut être confiée aux professionnels de L’image en marche.
Bar et Bat Mitzvah, des rituels à immortaliser en photos
Les Bar et Bat Mitzvah sont des cérémonies de rite initiatique pour marquer la majorité religieuse d’un enfant juif. Ce genre de communion exclusivement juive concerne les jeunes garçons de 13 ans pour le premier et les jeunes filles âgées de 12 ans pour le second. Ces évènements constituent un cap important dans la vie spirituelle de l’enfant, c’est pourquoi le recours à des photographes professionnels pour leur couverture s’avère judicieux.
Bar et Bat Mitzvah, une spiritualité à saisir
L’essence même des Bar et Bat Mitzvah réside dans sa spiritualité et dans le fait que ce rituel ne se passe qu’une fois dans la vie de l’enfant. Il est donc primordial que le photographe chargé de couvrir la cérémonie puisse faire ressortir à travers ses clichés ce mysticisme ainsi que la solennité et l’émotivité du moment. La fête qui suit la plupart du temps l’office est également une occasion de se retrouver en famille et entre amis.
Lors de Bar et Bat Mitzvah, l’agence L’image en marche vous propose les prestations d’un photographe professionnel pour couvrir l’intégralité de l’évènement. Elle offre en outre la location de borne photo à Paris afin d’animer davantage les festivités. C’est ainsi que les invités peuvent voir leurs photos défiler en diaporama sur écran géant et même demander leur impression sur des objets personnalisés. Enfin, il est possible de développer les clichés immédiatement ou de les partager sur les réseaux sociaux.
La Bat Mitsvah, aussi appelé communion juive, est le pendant féminin de la Bar Mitsva, à savoir une cérémonie de confirmation religieuse, par laquelle la jeune fille juive marque sa majorité, en principe à 12 ans.
Le terme signifie littéralement « fille du commandement ». Quand elle est célébrée, la Bat Mitsva est, après le mariage toutefois, l’un des principaux « rites de passage » religieux dans la vie d’une femme juive. Cependant la majorité religieuse des filles n’est marquée par une cérémonie que depuis récemment, et avant tout dans le judaïsme non orthodoxe. Les formes de la cérémonie sont moins fixées par la tradition que dans le cas des garçons.
La Bar Mitsva a progressivement émergé au Moyen Âge, mais la Bat Mitsva n’a commencé de se diffuser (aux États-Unis d’abord) que dans les années 1950. La première cérémonie de Bat Mitsva est celle de la fille du rabbin Mordecai Kaplan (fondateur du courant reconstructionniste) aux États-Unis en 1922.
Dans le Judaïsme libéral ou « réformé » (Allemagne, États-Unis), ainsi que dans le judaïsme consistorial français, elle avait été précédée au xixe siècle par une « confirmation », un peu sur le modèle chrétien.
À 12 ans (chez les orthodoxes), les jeunes filles deviennent responsables religieusement (cependant, les commandements religieux ou mitsvot qui s’appliquent aux filles ne sont pas les mêmes que pour les garçons). Toutefois, les jeunes filles ne montent pas à la Torah (par exemple c’est leur père qui sera appelé à la Torah pour y dire une bénédiction) : la fête est essentiellement privée.
La situation est différente dans le Mouvement Massorti et chez les libéraux (une petite vingtaine de synagogues au total en France) où la Bat Mitsva est à peu près semblable à la Bar Mitsva (sauf que la jeune fille ne porte généralement pas la kippa et les tefilin). La jeune fille peut monter à la Téba.
Ce n’est donc que dans ces synagogues que la Bat Mitsva est rigoureusement l’équivalent féminin de la Bar Mitsva : la jeune fille dirige en partie l’office, lit dans la Torah, fait un discours (dracha : commentaire des textes).
Dans le judaïsme orthodoxe, où les femmes ne montent pas à la Téba et où elles sont séparées des hommes, la célébration est extrêmement variable : pas de cérémonie du tout, cérémonie strictement familiale, cérémonie communautaire mais pas dans la synagogue elle-même, ou bien comme cela se faisait dans la Grande synagogue de Bruxelles, dans la synagogue, mais un jour de semaine et non le Shabbat (typiquement le dimanche ou le mercredi).